Celui qui est aujourd'hui mon maître, avec qui j'ai vécu pendant huit ans comme un égal auparavant, m'a demandé d'écrire mon histoire car depuis un an maintenant ses désirs sont des ordres.

Nous avions une petite vie bien rangée Assez conventionnelle. Au niveau sexe, c'était pas ça, principalement à cause de moi, à cause de ma bite (que je n'ai plus le droit d'appeler comme ça maintenant, je dois dire "ma nouille") à la fois petite et molle, sauf pendant de rares intermittences de trente secondes. Éric ne m'avait jamais reproché d'être une petite bite ou un bande-mou, mais nous savions tous les deux que c'était la réalité et j'étais particulièrement impressionné et fasciné par sa bite, que j'appelle aujourd'hui La Bite, puisque c'est la seule que je connaisse, n'en ayant pas moi-même et n'étant pas autorisé à aller voir d'autres vrais mecs.

Il y a donc un an, j'ai voulu regarder l'heure sur le téléphone d'Eric, et je l'ai trouvé en service et ouvert sur une page. J'ai été choqué, un peu triste, et en même temps ça m'a renvoyé à ma nullité de mauvais coup. Éric était dans la salle de bains. Il en est sorti, il a tout de suite compris ce qui s'était passé. Il a planté son regard dans le mien, son regard très brun, son visage barbu, à la fois très mignon et très autoritaire, et il m'a dit, presque sur un ton de reproche : "ça t'dérange ?". C'est là que tout a basculé. J'étais à poil, sortant moi-même de la douche, et j'ai commencé, de manière incompréhensible, à bander. Oh, ça n'a pas duré plus longtemps que d'habitude, mais le mal était fait.

Il a éclaté de rire et m'a dit : "apparemment non". Et j'ai répondu, les yeux dans les yeux : "non, ça ne me dérange pas, je trouve ça normal".

"c'est carrément normal, tu veux dire ! Tu crois qu'avec le corps que j'ai, et la bite que j'ai, je pouvais me satisfaire de petite nouille ?"

"Non Éric, évidemment !"

"bien, alors excuse toi d'avoir regardé mon portable."

Je me suis excusé puis il a poursuivi en m'expliquant qu'il avait découvert qu'il aimait dominer et que si je souhaitais continuer de pouvoir le sucer de temps en temps, mon indiscrétion allait devoir être l'occasion d'organiser notre vie un peu différemment. Il m'a alors proposé plusieurs règles pour notre vie :

1. Je devais systématiquement me mettre à poil en arrivant à la maison et rester à poil devant lui sauf présence de tiers. Je devais le plus possible être par terre quand lui était assis, et à genoux au quand il était debout. Au fur et à mesure, la règle sur les tiers s'est assouplie et, devant ses meilleurs potes ou son frère, au sont au courant de mon statut de soumis, je peux rester à poil maintenant.

2. Nous allions virer la femme de ménage et je ferais le ménage dorénavant, mais sans balai pour la serpillière, ni balai brosse pour les chiottes : les sols et les sanitaires devraient être faits à l'éponge et à genoux.

3. Il irait aussi souvent qu'il le souhaiterait voir d'autres mecs et je devrais l'en remercier, et il en ramènerait même à la maison, et je devrais bien les traiter, comme si j'étais l'employé de maison.

J'ai pris tout ça comme un coup sur la tête, et puis, finalement, j'ai tout accepté. Aujourd'hui, mes journées sont bien réglées. Lever vers 6h, je prépare le petit déjeuner d'Eric et je fais un peu de ménage ou de repassage, puis je pars au bureau.

Le soir, j'attends qu'Eric revienne de chez ses amants (il est devenu un master très demandé et sors en fin de compte tous les soirs). Je vis à poil, et depuis trois mois avec une cage de chasteté, soit la CB6000 soit la reine interdite des folies de Morgane. Comme Éric jute beaucoup chez ses autres soumis, j'ai peu l'occasion de le sucer, sauf pour le nettoyer. Il me donne aussi ses pieds à sucer et, à part ça, il n'utilise quasiment plus les chiottes pour pisser : je bois tout lol ! Comme il me dit : "tu as bien le droit à quelque chose qui sort de ma bite!"

Ces derniers temps, j'ai eu particulièrement de plaisir à cirer ses pompes, surtout des bottillons magnifiques qu'il a. L'autre jour, je me suis tellement agité pour le faire, avec la nouille qui remuait entre mes cuisses dans sa cage de chasteté, que j'ai juté comme ça, tout seul ! Éric était super content, m'a dit que j'étais devenu une vraie femelle, et qu'il pourrait me faire jouir très souvent en m'enculant, par la prostate, et c'est le cas. C'est très différent d'une éjaculation de vrai mec, ça donne plutôt l'impression de pisser mais avec un plaisir fou ! Comme ça risquer de m'arrive quelquefois au bureau, Éric m'a ordonné et de porter des serviettes hygiéniques. Voir le pharmacien se marrer quand je les achète, en présence d'Eric, est une délicieuse humiliation supplémentaire.

Chapitre 2

Depuis, ma soumission a avancé avec mon maître, et il me traite au quotidien comme sa chienne. Il m'a ordonné de commencer à raconter les différentes étapes de ma soumission et à tenir bon dans la durée. Je reprends donc avec ce premier récit. Je précise que tout cela est bien réel.

Tout a commencé quand j'ai voulu regarder l'heure sur le mobile de celui que je n'appelais pas mon Maître à l'époque.

Il n'était pas fermé et était ouvert sur un dialogue. Nous avions dit, étant ensemble depuis plusieurs années, que nous resterions fidèles et que nous ne tenterions pas ce genre d'expériences. Je sortais de la douche et étais à poil devant lui, déjà habillé. Sa réponse fut cinglante : "regarde la petite nouille ridicule que tu as entre les jambes. Est-ce que tu crois que je peux me satisfaire de ça?".

Le plus étonnant a été à la fois de sentir l'excitation que ces propos m'ont procuré, de voir ma bite effectivement petite (7cm en érection et molle la plupart du temps de toute façon) se redresser en l'entendant me dire ça, et ma réponse immédiate, spontanée : ''non, je comprends''.

''Eh bien voilà, c'est clair maintenant.'', me répond mon mec. ''Je vais voir ailleurs, des vrais mâles, pas des petites bites comme toi, et je les dresse à me sucer correctement. Mais si tu veux, si tu acceptes d'être dressé toi aussi, pourquoi pas''.

Depuis, progressivement, avec des hauts et des bas, je suis devenu le clebs de mon mec.

• Tous les matins, quelle que soit son heure de réveil, je lui apporte une tasse de thé au lit.

• Sauf à ce qu'il me dise le contraire, je dois être à poil quand on est tous les deux chez nous. Avec éventuellement un dessous qu'il choisi : slip moulant et transparent, string, jockstrap, etc.

• Je porte un cockring de manière permanente, en acier, où j'ai fait graver, à sa demande et à mes frais : ''Propriété de X...".

• Je dois l'accompagner quand il part pour un plan grindr ou autre, en voiture, et l'attendre sagement en bas...

-... ou bien, et c'est nouveau depuis hier, il me monte avec lui, et me fait loper par le mec qui le suce pendant ce temps là. C'est l'expérience d'hier que je raconterai plus en détail. Mais voir son mec embrasser goulûment un autre mec bien monté pendant que je suis à poil à leurs pieds, voir le regard de mon mec planté dans le mien comme pour me dire ''tu vois, tu es bien à ta place, petit clebs'', c'est une honte et un plaisir incroyable. L'autre mec m'a bien lopé, s'est bien moqué de ma petite bite, m'a fait le sucer, lécher son cul comme un bon chien, c'était merveilleux.

• et je dors souvent au pied du lit de mon maître, sur un tapis comme un bon chien.

J'ai dû acheter un collier et une laisse, que mon maître utilise quand il le veut et bien sûr, des claquettes pour me corriger quand je suis désobéissant. Je me suis fait corriger ce matin, 25 coups, mon cul est encore brûlant, je vous raconterai ça... Quand on a une mentalité de soumis, une petite bite, qu'on est un passif absolu, devenir le bon bâtard soumis, le bon clebs et, surtout, j'y reviendrai, la bonne femelle de son mâle, est un plaisir infini.

Mon maître aime bien me féminiser et donc faire porter des tenues de femelle en chaleur dans la journée et je dois lui envoyer des photos pour le prouver, j'ai voulu vous en faire profiter.

Chapitre 3

Premier plan de lopage par mon maître et un demi-mâle

Avant-hier soir dimanche, retour de vacances par l'autoroute. Mon mec, comme souvent, cherche un plan sur le net Sa spécialité c'est de parvenir à transformer en vide-couilles soumis de vrais actifs voire des hétéros. Ca le fait bien rire de voir ces soi-disant vrais mâles ramper devant lui et sa bite qu'ils vénèrent...

Quant à moi, j'ai abandonné depuis longtemps toute prétention au statut de mâle. Je suis à la fois un bon clebs et une femelle. Mon maître me le dit suffisamment et me le fait bien sentir.

De retour de vacances, donc, mon maître ne trouve pas d'actif à son goût et décide de se faire un passif. Pas vraiment un soumis (même si mon maître pense que toutes les passives sont des soumises qui s'ignorent) mais un gars qui va le pomper gentiment.

D'un seul coup, alors que je conduis et qu'il est sur son i phone, l'idée lui vient : "et si je te faisais loper par un passif ?"

Le cul du bon clebs à loper et plugger... par un passif !!! La honte!!!

Evidemment j'ai accepté (comme si j'avais le choix !). Nous nous sommes arrêtés sur une aire d'autoroute pour me changer et me mettre en tenue de salope : short ras du cul d'un surplus de l'armée, tongs en cuir, mini-slip transparent et t-shirt court. Mon maître aime m'habiller d'une manière telle qu'on puisse croire que je m'habille normalement comme ça, mais où le maximum de ma peau de clebs soit bien exposée. Et avec la culotte qui me rentre dans la raie, me f o r ç a nt à la réajuster en permanence comme font les nanas, en bonne femelle que je suis.

Nous voilà arrivés à Savigny, chez le passif. Mon maître m'avait dit : "dès que tu seras entré dans l'appartement, tu te mets à quatre pattes comme le bon clebs soumis que tu es''. C'est ce que j'ai fait. Mon maître et le soumis ont commencé à s'embrasser goulûment. La honte pour moi le cocu f o r c é d'assister à ce spectacle.

''Fous-toi à poil'', me dit mon maître. Je m'exécute (avec ce que je porte, ce n'est pas long). Eux aussi se foutent à poil et je découvre la bite du passif qui est en fait assez belle. Je suis très gourmande et alors que je n'avais jamais sucé un mec devant mon maître, et qu'à vrai dire j'ai très peu sucé d'autres bites que celle de mon maître, mon maître me dit ''suce la bite du monsieur''.

J'ai été bien obéissante, j'ai bien sucé, en remuant du cul pour faire bouger mon clito de chienne entouré de son ring, le clito du clébard dans son cockring gravé ''Propriété du Maître''.

Le soumis y a pris goût et les insultes humiliantes ont commencé à voler :

"Ah ouais, c'est une vraie chienne''.

"Ouais, je t'avais dit, elle aime ça. Mets-lui un de tes slips sales sur sa gueule, tu vas voir, ça l'excite''.

"T'as raison en plus, son clito se redresse un tout petit peu, lol !!! Elle remue la queue comme un bon clebs''.

"Allez, viens me pomper, et toi, le clebs, lèche le cul du Monsieur''.

Ils ont fini par se retrouver face à face, leurs deux bites de taille à peu près équivalentes l'une contre l'autre, et là mon maître m'a demandé de les prendre toutes les deux à la fois en bouche. Double péné de la gueule du bon clebs soumis en somme... Humiliation très grande pour moi...

Pour finir, j'ai tellement bien pompé le passif qu'il a joui avant mon maître (ce qui m'a valu une correction une fois rentrés à la maison) et j'ai dû sucer mon maître pendant que le soumis me regardait, m o r t de rire. J'ai tout bien bu, et même léché une goutte tombée par terre...

Pour repartir, il était tard et la voiture n'était pas très loin, mon maître m'a dit que je pourrais me rhabiller dans la voiture, je suis donc reparti à poil, heureux d'avoir bien satisfait un passif qui a vu qu'une vraie chienne bien soumise pouvait lui donner du plaisir sur ordre de son maître. Dans la rue il faisait noir, une ou deux voitures nous ont croisé tandis que l'on revenait à la voiture, appels de phare, klaxon, sifflet de deux rebeus par la fenêtre ouverte : "elle a l'air bien docile ta chienne'', humiliation de plus...

Voilà, un premier plan de lopage réussi, malgré ma faute d'avoir fait jouir le passif avant mon Maître.

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